Parce que la transition entre « métro-boulot-dodoï et « schuss endiablésï peut ętre rude, nous faisons le point sur l’essentiel pour que votre séjour au ski soit une réussite et pour que chacun soit au top sur les pistes. En famille, entre copains ou en couple, on ne voit jamais les vacances de la męme façon.La saison du ski est ouverte et les premières stations de sports d’hiver s’apprętent à accueillir leurs hôtes. Là-bas, il y a de la neige et on n’a plus qu’une seule envie : foncer dans la poudreuse ! Parce que tout le monde ne vit pas monts enneigés, descentes et raclette avec la męme intensité ni les męmes moyens, l’offre se diversifie pour coller aux attentes d’une clientèle de plus en plus fantasque, et qui ose désormais s’aventurer ailleurs que dans les « stations starsï.
1/ En famille, on mise sur les résidences-clubs.
Les sports d’hiver sont l’occasion ręvée et attendue pour des retrouvailles en famille. Certaines stations plus que d’autres réservent un accueil privilégié aux « smalasï, petites et grandes, pour que chacun puisse pleinement profiter de son séjour. Réserver un appartement en résidence est une solution idéale, avec possibilité de demi-pension pour se sentir en «vraies vacances». Et pendant que les parents s’éclatent sur les pistes, rien n’est trop beau pour leurs lutins des neiges : les tout-petits sont chouchoutés dans des haltes-garderies pendant que les plus grands passent leur premier flocon !
2/ Ambiance authentique dans des chalets individuels.
Pas envie de s’entasser à six dans un deux-pièces ni de réserver dans des stations-usines ? Miser sur la location d’un chalet individuel est un bon choix. Généralement construits sur des sites privilégiés ( Combloux , l’ Alpe d’Huez …), où la nature et le calme sont rois, on y savoure la chaleur de l’après-ski dans une ambiance authentique et traditionnelle. Avec cheminée dans le salon, peau de bęte par terre et bois au mur…
3/ Formules Tout Inclus pour les bandes de copains.
Pour les tribus de copains au budget serré, il existe désormais des formules Tout Inclus comprenant l’hébergement, les forfaits Remontées, la location du matériel, jusqu’au pack-repas demi-pension. Idéal pour les bandes de jeunes, skieurs purs et durs plus concernés par les nouvelles glisses, les champs de bosses et la fęte que par les haltes garderie ou le cachet de la station.
4/ La montagne : des plaisirs multiples et variés.
Pour tout ceux qui n’aiment pas le ski mais qui ne peuvent pas y échapper, un seul remède : penser à tous les autres plaisirs qu’offre la montagne. Et il y en a ! Pour les sages, les balades en raquettes sont très en vogue. Certaines stations proposent des sorties avec une nuit (ou plus) en refuge ou sous un igloo. Les amateurs de frissons pourront quant à eux opter pour une escapade en chiens de traîneaux, moto-neige ou delta-plane.
5/ Thalasso et montagne : le duo gagnant.
Pour que montagne rime avec détente, rien de tel qu’un séjour thalasso et spa. Il est désormais possible de combiner ski, bains de vapeur et soins du corps. Idéal pour se détendre après une journée de sport et pour dire adieu aux vilaines courbatures des premiers jours !
6/ La neige à petits prix.
Partir une semaine n’est pas forcément à la porté de toutes les bourses. Entre la location, les forfaits, le matériel… les sports d’hiver coűtent généralement chers. Mais désormais, il est possible de trouver des forfaits à petits prix, dans des stations de moyenne montagne, qui offrent des prestations attractives et ce petit «supplément d’âme» de plus en plus recherché. En revanche, les plus grosses économies se font en partant en décalé, hors périodes scolaires. On bénéficie alors de tarifs avantageux, jusqu’à 75% moins chers.
7/ Réserver cours, forfaits et équipement avant de partir.
Pour éviter la cohue et les files d’attente à l’arrivée, pourquoi ne pas réserver forfaits, cours de ski et équipements avant de partir ? C’est possible par téléphone bien sűr, mais aussi par Internet. Toutes les stations, les Ecoles de Ski Françaises et certains voyagistes en ligne comme Opodo ont aujourd’hui des sites complets et détaillés. Et souvent on peut bénéficier, par la męme occasion, de réductions.
8/ Pour des vacances sans souci, on n’oublie pas l’assurance.
Parce que « ça n’arrive pas qu’aux autresï, on joue la carte de la prudence en contractant une assurance béton, individuelle ou familiale, la plupart du temps spécifique et adaptée aux sports d’hiver.
9/ Avant de partir, on se met en condition.
Pour éviter de se retrouver avec des béquilles en guise de skis et limiter le risque de courbatures, il est conseillé de préparer ses muscles, surtout ceux des jambes. Vélo, jogging, natation feront en plus travailler le souffle et l’endurance. Sur place, pas la peine de vouloir rentabiliser son forfait à tout prix : on se ménage ! Une pause « vin chaudï n’a jamais fait de mal ! Et pour ętre mieux armé, on adapte son alimentation. On ne skie pas le ventre vide. Petit-déjeuner copieux, sucres lents et rapides, boissons abondantes, fruits secs et barres dans les poches sont de rigueur.
10/ Sur les pistes, on opte pour le confort et la sécurité.
Pas de défilé de mode sur les pistes ! L’essentiel est d’ętre à l’aise dans sa « combiï sans pour autant ressembler à un Bibendom. Sous peine de se transformer en bâton glacé, on évite de skier en jean. On couvre bien les extrémités sans pour autant enfiler quatre paires de chaussettes qui ne feraient que comprimer le pied. On n’oublie pas d’équiper la pitchoune d’un casque. Et surtout, on vérifie son matériel, et notamment ses fixations, et on n’emprunte pas les chaussures de sa copine Muriel, męme si elle chausse aussi du 39. Enfin, on se tartine de crème solaire et on met ses lunettes. Le bronzage ski n’est pas des plus seyant , certes, mais c’est toujours mieux que de finir avec la fameuse ophtalmie des neiges et un regard de lapin albinos.
11/ Petites précautions avant le départ.
Petit plus : qui dit départs au ski en voiture, dit embouteillages monstres. On anticipe donc en consultant les prévisions de Bison Futé et les itinéraires bis. Et on s’équipe en pneus-neige pour éviter de faire la toupie, voire d’ętre carrément bloqué –comme c’est dommage- à deux kilomètres de la station.
